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Jadis contre pouvoir, elle passât faire valoir. Aujourd’hui elle n’est plus rien…

Jadis contre pouvoir, elle passât faire valoir. Aujourd’hui elle n’est plus rien…

De qui je parle ?
De la presse, des médias.

Tous ces faiseurs de rois, ces trafiquants d’infos, ces créateurs « d’opinion ».
Jadis on les croyait, jadis on les suivait, jadis ils étaient ces gardes fous, ce contre pouvoir au combien nécessaire…

Que sont t’ils devenu ?
Des marionnettes fantoches propriétés des puissants.
Des faire valoir, des vendeurs de poudre de perlimpinpin.

Plus rien dans ce qu’ils disent, écrivent, véhiculent et colportent n’est écouté, entendu, cru et retenu.
C’était pourtant là le fondement de leur utilité, l’objet de leur naissance.

Informer pour que l’Homme grandisse, pour qu’il puisse à leurs sources se construire une conscience, une pensée, une âme, une opinion.
C’était sans compter sur l’appât du gain, sur la loi du marché. 

Faire du sensationnel sous prétexte de rentabilité.
Alors ils ont fossoyé. 

Fossoyé leur job, fossoyé leur éthique, fossoyé leur déontologie.
Ils ont été jusqu’à fossoyer leur mission, leur fonction, leur rôle, leur place.
Comme ils y étaient ils en ont profité pour fossoyer nos âmes, nos opinions, nos pensées.
Aujourd'hui ils nous parlent de valeurs, de gravité, de l’imminence des dangers qui nous menacent. Alors que c’est eux qui les ont eux même élevés au rang qui les a fait menaces.

Je sais, vous allez me parler de liberté de la presse.
Mais de qu’elle presse ? Et de quelle liberté ?
Celle d’être les fossoyeurs de nos humanités ?
Celle d’être les créateurs de l’anomie ambiante (anomie = chaos moral) ?
Ouvrir des tribunes à des maladies mentale (xénophobie, homophobie) en les présentants comme étant des opinions et non pour ce qu’elles sont réellement des pathologies, est tout sauf étique et responsable.    

Pourquoi je vous écris ça ?

Parce qu’aujourd’hui ils ont le toupet de se servir de ce chaos qu’ils ont créés pour se refaire une santé et une virginité.
Ca me dégoute de les voir jouer l’intégrité devant et contre les pourritures qu’ils ont portés aux nues.

Pour moi cette presse là ne sert plus à rien, elle n’est plus rien, elle ne nous informe plus de rien et sur rien. Elle rebondie comme le fait une balle en caoutchouc, ça part dans tous les sens, ça tire à hue, ça tire à dia. Ca tire partout ou il y a du buzz, du tirage, de l’audience, de l’audimat.
Elle est devenu le poison de sa propre disparition. 

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